Élégant automnal n&b
Par Cunégonde le jeudi 10 novembre 2011, 13:59 - Mes ptits bonheurs
Par Cunégonde le mercredi 9 novembre 2011, 13:38 - Mes ptits bonheurs
Pour rajouter de la netteté,
j'ai ajouté du flou
sous photoshop.
Par Cunégonde le vendredi 4 novembre 2011, 18:35 - Sans
C'est marrant
il y a belle lurette que
je ne fais plus ce genre de photos
avec mon reflex.
Je ne prends maintenant
ces photos que pour mon blog.
Par Cunégonde le jeudi 3 novembre 2011, 12:30 - Mes grandes découvertes
Je vois au loin, la mère d'une copine d'enfance.
Sa petite est connue de tous,
même moi, du haut de mes 1m60,
j'en plaisante.
Je la vois donc essayer de monter en voiture.
Elle n'y arrive pas.
La personne qui l'accompagne
est obligée de l'aider.
Elle a donc rétréci.
Par Cunégonde le lundi 31 octobre 2011, 12:27 - Mes grandes découvertes
Quand je pense que
l'on parle de la 4G.
Alors que dans mon village
la 3G est partiellement absente.
Pour l'ADSL s'est pareil,
elle n'est pas présente sur tout le territoire.
Par Cunégonde le dimanche 30 octobre 2011, 17:43 - Mes grandes découvertes
Si, il est possible que
je n'ai pas toujours,
même pas souvent accès au net,
dans mon village natal.
Par Cunégonde le vendredi 25 mars 2011, 08:30 - Mes grandes réflexions
On ne voit pas les choses
De la même façon d’un village,
Et d’une ville.
Quand je vois des tours d’habitation
comme celles placées de chaque côté
du bd de La Chapelle, je me demande toujours
comment on a pu enfermer des paysans
(pour la plupart) dans un habitat aussi hostile.
Quelle convivialité, quels lieux de vie étaient proposés ?
Dans un village, il y a un troquet, une épicerie, un marché,
des lieux où on se montre, et où on voit.
Dans ces tours, souvent autour rien,
elles enferment les gens sur eux-mêmes,
elles les laissent entre eux,
sans leur offrir de portes de sortie.
Comment un paysan, ici en ville,
coupé de ses racines transmet ses valeurs ?
Comment apprendre à leur enfant à vivre
dans un milieu aussi éloigné du sien ?
Heureusement, des mères et des pères l’ont fait,
et continuent de le faire.
Je me laisse le droit
de supprimer tous les commentaires
qui me déplairont.
Par Cunégonde le samedi 8 janvier 2011, 08:22 - Mes ptits bonheurs
Je deviens garagiste.
J'ai changé avec ma nièce
son rétroviseur
Par Cunégonde le jeudi 30 décembre 2010, 19:09 - Mes ptits bonheurs
Ici, dans la maison familiale,
la température n'est pas la même que dans mes 25m²,
la surface de la maison non plus.
Le poêle installé entre la salle à manger
et le salon vient ménager
ma sensibilité au froid.
Ici, j'ai redécouvert les bienfaits
des bouillottes. Jadis,
j'utilisais des briques réfractaires
pliées dans des sacs à jambon,
le lit était bouillant puis chaud pour toute la nuit.
Plusieurs défauts à cela, il faut avoir
une (au moins) brique, et de quoi la plier.
Mais aussi une cheminée dans laquelle
un feu brule, pour que cette dernière puisse
être mise devant et « emmaillotée comme un bébé »
le moment venu, avant d'être mise au lit.
Les bouillottes, elles, nous en trouvons
aisément dans les magasins.
Il existe différentes formes, et un grand choix de couleurs.
Soit on fait chauffer de l'eau, soit l'eau du robinet
est suffisamment chaude pour faire l'affaire.
Deux est un bon chiffre en ce qui concerne
le nombre de bouillottes à posséder.
Deux à trois heures avant de se coucher,
il faut savamment disposer celles-ci
dans le lit. Une pour les pieds, c'est crucial.
Une autre qui servira à réchauffer délicieusement le corps.
Le moment venu, se plonger
sous des draps imprégnés d'une chaleur suave
est un des plaisir hivernaux que je goûte sans retenue.
Par Cunégonde le samedi 25 décembre 2010, 23:34 - Mes ptits bonheurs
Offrir des cadeaux qui
font pleurer de plaisir.
Par Cunégonde le samedi 25 décembre 2010, 13:34 - Epi & Fil
Je mets les deux bestioles
dans leur sac de luxe,
et direction mon monde civilisé.
Une pointe d'angoisse m'envahit,
c'est la première fois
qu'elles prennent le train ensemble.
En amenant les deux, oui,
je ne peux pas les séparer,
les rideaux de ma sœur ont
deux fois plus de chance d'être détruits !
Par Cunégonde le mardi 23 novembre 2010, 08:09 - Mes ptits bonheurs
Dans mon village, en hiver,
il était coutume de tuer le cochon.
Beaucoup de famille s'adonnait à ce rite.
Enfant quand je voyais arriver celui
qui allait égorger la bête,
Je partais me cacher et me boucher les oreilles.
J'ai encore dans la tête ce bruit.
Quand tout devenait calme,
je sortais.
Je ne m'approchais pas tout de suite,
je voulais être sûre qu'il était bien mort,
suspendu par les pattes de derrière,
et le ventre ouvert, plus aucune goutte de sang
ne s'échappant encore.
Mes souvenirs de cette phase sont flous,
et je préfère qu'il en soit ainsi.
Mamie ( mon arrière-grand-mère),
et madame C. aidaient ma mère pour la cuisine.
Ce n'est pas le tout d'avoir des côtes de porc, des rôtis.
Il y a aussi les saucisses... Voraces, nous piquions
dans l'énorme plat en terre, de la chair (à saucisse)
pour la goûter. Plus tard, j'ai même soufflé dans les boyaux,
un délice à cette époque, un écœurement maintenant,
rien que d'y penser. Les goûts changent.
Il y a cette fameuse soupe de boudins.
Seules celles de ma mère, et de madame C.
étaient délicieuses. En fait, je crois que c'est cette dernière
qui a appris à ma mère à la faire.
Pour la préparer, les femmes épluchaient
les légumes, mettaient à tremper les mongettes...
Le feu dans la cheminée est entretenu.
Oui, la soupe de boudin ne se cuit que dans une marmite en fonte,
sur un trépied mis dans la cheminée.
La soupe prenait forme.
Choux, carottes, les 4 épices, sel, poivre....
Les boudins délicatement déposés.
Une fois cuits, ils sont retirés.
Cette eau de cuisson constitue la base de cette soupe.
La recette exacte m'est inconnue,
Le sang est versé, plus on en met
plus la soupe est noire et épaisse.
Nous l'aimons comme cela dans la famille.
Dans l'après-midi, nous devons aller inviter les voisins,
pour venir le soir chercher de la soupe.
Le soir venu, les voisins arrivent avec leurs soupières,
le faitout, le pot au lait...
Ma mère sert la soupe.
Sa fierté, elle offre son trésor.
Nous, nous savons que sa soupe est la meilleure du village.
Ma mère n'a aucune concurrente en ce domaine.
La soirée se déroule au rythme des récipients remplis.
Chacun rentre chez lui avec assez de soupe sa famille.
Le calme fait place au défilé des voisins.
Nous mettons le couvert, nous aussi nous mangeons
de la soupe ce soir.
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