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Où est passé le FLNJ ?

Je suis allée quai de la Mégisserie.
Je suis tombée sur une scène d'une rare violence,
des nains de jardin enfermés dans une cage.

Je n'étais pas armée de mon appareil photo.
Je n'ai pas eu le réflexe de figer cette ignominie
avec mon téléphone portable pour
la jeter à la face du monde libre.

Que fait le Front de Libération des Nains de Jardin ?

Ma future récolte

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Ma visite de Versailles

Mis à part le monde qui
rend difficile la visite de certaines pièces,
J'ai apprécié ce que j'ai vu à l'intérieur.

Avec un plan, c'est trop facile.
sans mal aux pieds trop marrant,
nous sommes parties à l'aventure,
pour trouver le Grand Trianon,

Nous savons découvert le Petit.
nous avons vu un cygne, des carpes,
des brochets, un héron, des oies,
des canards, des vaches, des moutons...

Essuyées un orage de grêle,
rentrées fourbues et ravies.

Les changements de saison dans la journée me rendent triste.

Je me lève, il fait beau,
et chaud, il est 8h02.
RdeS est là, pour la journée. Je le vois si peu.
De ma faute, celle de notre éloignement,
c'est juste une constatation.
Cet homme, je l'aime juste
parce qu'il fait partie de ma vie.

0h35, son arrivée est retardée de 10 minutes.
Quelques secondes avant que son train entre en gare,
les lumières ont été allumées.
La pluie frappe contre les vitres.
Je le vois sur le quai,
sa démarche ne change pas.
Bien heureuse qu'il me serre dans ses bras
pour m'embrasser, c'est l'hiver qui nous cueille
à la sortie du métro, le plus proche de son hôtel.

Le temps de poser son sac, que la pluie se calme,
nous repartons vers chez moi.
RdeS n'a pas voulu assister au défilé,
Les légionnaires sont venus à nous en char,
place de Clichy. Nous entrons trempés dans le restaurant,
après nous être sustentés, nous faisons deux pas
pour nous retrouver dans le même état, mouillé.

RdeS n'avait jamais vu mes bestioles,
la météo se prêtait à cette visite.
Nous avons passé une grande partie de l'après-midi, au sec.
Vers 18h, l'été faisait une légère apparition.
Nous bougeons. RdeS aime les restos japonais de la rue Sainte-Anne.
Je l'amène par des chemins d'écoliers vers un que Yo m'a fait connaître.
Pour se faire, nous descendons du métro à Champs-Élysée- Clémenceau,
nous logeons la Seine. Des militaires qui rangent leurs bardas sont là, aussi.

C'est moi qui ai le plan, je suis le guide.
RdeS lui a le sens de l'orientation.
Si nous nous étions perdus,
il aurait pris la direction des évènements.
Sans difficulté, nous nous retrouvons assis,
devant nos « assiettes » copieusement servies.
Nous mangeons, échangeons peu.
Pour moi, le silence est lourd.
Nous nous baladons, un troquet nous permet
de nous poser avant de nous quitter. Au un croisement de ligne de métro,
nous nous laissons, chacun allant dans sa direction.
Une émotion que je n'aime pas m'envahit.

L'île de Charentonneau

Un voyage en bateau
grâce à Voguéo, navette fluviale
qui va de la gare d'Austerlitz
à l'école vétérinaire à Maison-Alfort.
Nous nous étions donné rendez-vous
avec Yo pour le départ de 10h40.

Arrivées à bon port, nous descendons.
J'avais juste dans l'idée de
faire un petit tour puis s'en vont.
Nous partîmes à la découverte des bords de Marne.
La balade est très agréable,
des paysages dépaysants,
l'eau toujours présente.
Une ile a attiré Yo.

Nous entrons dans Maison-Alfort
pour faire quelques courses
pour improviser un pique-nique.
Nous retournons sur cette ile alléchante,
pour consommer nos victuailles,
et nous assoupir un moment.
Après un arrêt obligatoire dans un troquet.
Nous reprîmes la navette en sens inverse,
les paysages étaient plus connus.

Soirée

Expo Kenna, encore une fois.
Des détails qui étaient passés inaperçus.

Traversée du jardin des Tuileries la nuit,
arrivée à la Concorde,
notre nacelle nous attendait.

Paris de haut,
des lumières jaunes, rouges, vertes.
Une autre dimension, d'autres perspectives.

Rue st Anne, un restaurant japonais,
un menu avec du poulet,
pour me remettre de mes émotions.

Mes pieds ne vont pas toujours
dans la direction que j'ai choisi.
Détour, retour à la maison,
ravie.

1,2,3,4,5,6,7,8

Des dan­seurs qui répè­tent.
Quelqu’un qui leur donne la mesure.
L’espace à met­tre en place.
les por­tées à mieux maî­tri­ser.

J’ai été éton­née par le voca­bu­laire uti­lisé.
Le terme phrase pour dési­gner
le bout d’un pas­sage, d’un tableau.

La musi­que, l’his­toire racon­tée,
la répé­ti­tion con­ti­nue et prend fin.
C’est la pre­mière fois que
je voyais un spec­ta­cle de danse.
Je débute par une répé­ti­tion publi­que.

Avatar

Oui, ce film a des défauts.
Oui, c'est long.
Oui, l'histoire est un peu neuneu.

Le monde qui nous est décrit
est intéressant et beau.
Les effets spéciaux attendus sont là.
J'ai aimé.

Kenna

Micheael kenna, un de mes photographes préférés.
Je viens d'aller admirer ses photographies à la BNF.

Somptueux, je connaissais déjà la plupart de ses œuvres,
pour certaines, je ne me lasserai jamais de les voir.
Je sais que je vais de nouveau les regarder.

Tout est simplement beau.

Vous ne pouvez imaginer pas...

à quel point il est bon de PISSER
après trois quarts d'heure de retenue
la vessie pleine!!

Petite leçon de séduction

Deux adolescents rouge-gorges se rencontrent.
Une discussion nait, des regards en coin sont lancés.
je te regarde, je te tourne le dos,
Je fais mine de ne pas être intéressé(e),
je reviens à tes cotés, je repars...

L'envolée s'ensuivit.
Mon imagination me raconta
un conte à l'eau de rose.

Tout n'arrive pas ici ou si succinctement que...

Dans ce village, même pas répertorié
sur toutes les cartes,
tout y arrive difficilement!

Les flocons commencent à blanchir.
Fatigués, ils ne tiennent même pas.

Clin d'oeil

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Bestiole

Avant Bestiole, j'ai toujours eu
des chats, à moi ou pas, ils étaient là.
A la campagne, quand j'étais petite,
les chats vivaient dehors.
Chez nous, ils entraient
pour la gamelle et les caresses.
Sinky était ma dernière bestiole là-bas.
Sauvage à souhait pourtant elle m'écoutait.

Jouer avec un chat,
faire autre chose que
le caresser, le soigner, le nourrir
m'était inconnu ou presque.

Bestiole a été mon premier chat en appartement.
Elle m'a appris à être patiente.
Elle m'a appris à jouer avec elle,
surtout qu'elle ne jouait pas toute seule!
Elle m'a appris à accepter ses griffes
sur les rideaux même si je me fâchais!
Elle m'a appris à vivre avec un chat en appartement.

Sans Bestiole, Épi ne serait pas là à ronronner à côté de moi.
Épi, je l'ai choisi en connaissance de cause.
La race, le caractère qui en découle...
La décision de la sortir en laisse tous les jours.
La marque des croquettes que je lui donne.
Toutes ces décisions je les ai prises grâce à ma vie avec Bestiole.

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