Deux cygnes, leurs longs cous
en avant, passent de concert
sous le pont de Sully.
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Par Cunégonde le lundi 19 novembre 2012, 08:08 - Flash
Par Cunégonde le lundi 19 novembre 2012, 08:08 - Flash
Deux cygnes, leurs longs cous
en avant, passent de concert
sous le pont de Sully.
Par Cunégonde le dimanche 18 novembre 2012, 08:26 - Mes ptits bonheurs
Par Cunégonde le mercredi 7 novembre 2012, 08:17 - Mes ptits bonheurs
Moi, je le lave,
je le découpe en lamelles très fines.
Je le jette dans la poêle.
J'avais dans celle-ci versé un peu d'huile d'olive.
Pendant qu'il « revient » tranquillement,
je pèle un oignon.
Lui aussi, fini en fines lamelles,
pour aller tenir compagnie au fenouil.
Quand ils commencent à être bien tendres,
je rajoute des tomates,
soit fraiches, soit en conserves.
Et vous ?
Par Cunégonde le samedi 27 octobre 2012, 10:58 - Sans
Un héron qui s'envole,
une fourmi presque avalée,
quinze kilomètres parcourus,
voilà quelques moments de ma journée d'hier.
Par Cunégonde le mercredi 24 octobre 2012, 10:07 - Mes grandes interrogations
Je veux m'acheter, sur le net,
un billet pour aller voir
l'expo de Hopper au Grand Palais.
Quelle ne fut pas ma surprise
quand j'ai vu qu'il fallait que
je paie un euro de plus pour imprimer
ce billet moi-même,
ou pour le télécharger sur mon smartphone.
Par Cunégonde le jeudi 18 octobre 2012, 18:07 - Mes ptits bonheurs
Peu ramassé,
donc peu mangé.
Par Cunégonde le mardi 16 octobre 2012, 09:15 - Mes ptits bonheurs
Avec ma sœur, nous avons
piqué des figues et des raisins
au père F.
Comme des gamines,
nous nous sommes comportées.
Par Cunégonde le lundi 15 octobre 2012, 11:15 - Epi & Fil
Fil, elle est blottie
au fond du sac.
Par Cunégonde le dimanche 14 octobre 2012, 08:10 - Mes ptits bonheurs
Elles ont leurs harnais,
je les ai réhabituées au sac,
cela n'a pas été simple.
Vers dix heures, heup,
les bestioles dans le sac,
le sac sur le diable,
et on roule jusqu'en Gironde.
Par Cunégonde le mardi 9 octobre 2012, 09:23 - Mes ptits bonheurs
Commencez par vous procurer
des compresses stériles, de l'élastoplast,
un désinfectant et des ciseaux.
Ensuite, vous pouvez commencer à
découper votre potimarron en deux.
Enlevez les graines.
Découpez chaque moitié en tranches de 2 ou 3 cm.
Commence maintenant le plus dangereux,
avec un couteau bien affuté,%%
vous devez pelez les tranches,
sans y laissez un bout de doigt.
Une fois cette opération accomplie,
vos petites minines intactes,
sinon vous pouvez m'envoyer un mail
pour que je vous explique comment
faire un pansement vitesse grand V
avec le matériel que
vous deviez obtenir en premier.
Mais je m'égare.
Les belles tranches, bien épluchées vont être
transformées en petits dés.
Moi, j'aime qu'ils soient les plus petits possible.
Vous pouvez faire une pause.
Dans un faitout, grande casserole, marmite,
récipient assez grand pour recueillir vos petits dés.
Recouvrez le fond d'huile d'olive.
Vous pouvez tester avec une autre huile.
Y déposez délicatement vos petits dés
si amoureusement découpés
pour les personnes qui ont dû passer
par l'étape pansement, c'est pareil.
Faites revenir les dés en touillant
avec une cuillère en bois,
ça ne change pas le gout,
c'est pour le style,
si vous possédez une toque de chef,
vous pouvez la mettre, aussi.
Une fois vos petits dés revenus,
pour ne pas qu'ils attachent,%%
mouillez les avec un verre d'eau.
Ne faites pas comme moi,
à ce stade, ne vous mettez pas
devant une série palpitante,
sinon vous risquez avoir le pouce coupé
et la compote cramée,
et une bonne dose de frustration sur l'estomac.
Oui, c'est du vécu.
C'est cuit quand la compote est onctueuse.
Juste avant ce stade,
il vous faut saler selon votre goût,
et saupoudrer avec du cumin.
Une petite cuillère rase suffit.
Touillez, pour bien mélanger.
Éteignez le feu, et recouvrez votre récipient
pour quelques minutes.
Cette compote, comme toutes les compotes,
peut se manger chaude ou froide.
Par Cunégonde le samedi 6 octobre 2012, 16:14 - Mes ptits bonheurs
J'étais à genoux devant ma poubelle.
Je déchiquetais les dernières cigarettes
que je n'avais pas réussi à fumer
pour cause d'écœurement.
S'en est suivi un combat avec moi-même.
Des crises d'angoisse si oppressantes
qu'elles me faisaient peur.
Heureusement, j'avais de l'aide autour de moi.
Je n'ai jamais su remercier
mon entourage tant personnel que professionnel
d'avoir réussi à me supporter
durant les quatre premiers mois.
Je n'ai pas toujours un caractère facile,
mais pendant cette période
j'ai dû être odieuse à certains moments.
Je ne me supportais pas.
Alors vivre avec les autres était devenu compliqué.
Puis de jour en jour,
la douleur s'est estompée.
Les kilos se sont installés insidieusement.
Je n'ai jamais crié victoire.
Il m'arrive encore de
ressentir le besoin d'une cigarette.
Par Cunégonde le vendredi 5 octobre 2012, 08:08 - Mes ptits bonheurs
Maintenant que mon pouce est guéri,
je vais pouvoir refaire
de la compote de potimarron.
Par Cunégonde le lundi 24 septembre 2012, 00:49 - Mes ptits bonheurs
Je suis quand même
arrivée à le « compoter ».
Aujourd'hui, il a disparu.
Par Cunégonde le dimanche 23 septembre 2012, 12:54 - Mes ptits bonheurs
La Seine était recouverte
d'une armada de petits bateaux à rames.
Je me demande si le couple de cygnes
à des enfants.
Par Cunégonde le mardi 18 septembre 2012, 08:12 - Mes grandes réflexions
En lisant les blogs de personnes que
je connais, et que je ne me reconnaissais, qu’en partie,
je me suis interrogée
sur l’image que je transmettais.
L’image que je vous donne n’est
qu’une facette de moi,
réelle, mais pas complète.
Je ne vous montre pas ma facette
la plus déplaisante. Je ne vous raconte pas
mes crises d’angoisse, ni même mes mauvaises humeurs.
Je ne vous montre qu’une face somme toute assez lisse.
En même temps, pendant que je me décris
de cette façon, je me vois aussi de cette manière-là.
Et c’est assez agréable.
Par Cunégonde le lundi 10 septembre 2012, 08:24 - Objets
Après ma cafetière, mon deuxième objet
important le matin est ma tasse à café.
Elle est grande, je la remplis presque complètement.
À la maison, je m'en sers deux fois, voire plus.
Au bureau aussi, j'ai ma tasse.
Quand j'arrive, je commence par
dire bonjour à tout le monde,
ensuite je vérifie s'il y a du café de fait.
Si c'est le cas, je suis ravie,
et je remercie celui qui l'a fait.
Sinon, j'en fais, et je préviens ceux qui en boivent
pour que l'on se retrouve à plusieurs
pour une pause café.
Je ne bois plus de café après 14h30, 15h.
Par Cunégonde le mardi 4 septembre 2012, 09:58 - Mes ptits bonheurs
Ce que je cherche,
c'est mettre moins de sucre que
dans la recette originale.
Pour ce faire, j'utilise de la stévia.
Mais celle-ci laisse un goût
parfois déplaisant de réglisse.
Pour mon dernier essai,
j'ai mis 100G de sucre pour
200g d'azukis et une petite cuillère
très rase de stévia.
Pour mon prochain essai,
je vais diminuer le sucre de 10 ou 20g
selon mon humeur.
Par Cunégonde le dimanche 26 août 2012, 08:38 - Objets
J'apprécie son design.
Je la trouve esthétique.
C'est ma sœur qui me l'a donné.
Tous les matins quand je prends
un petit déjeuner, chez moi,
j’attrape le réservoir à eau.
Je le remplis.
J'ouvre le frigo, je prends ma boîte à café.
Je cherche le filtre à café de la cafetière.
Une fois que je l'ai en main.
Je le mets à sa place.
Et j'y dépose avec soin, deux cuillères à café et demi.
Je visse la verseuse sur le tout.
Et je la pose sur le petit trou de ma gazinière.
Au bruit, je sais que mon café est prêt.
C'est une de mes trois cafetières.
Celle que j'utilise tous les jours,
ou presque.
Par Cunégonde le vendredi 24 août 2012, 10:23 - Objets
Ce matin en regardant ma cafetière,
en comprenant l'importance qu'elle avait
à mes yeux, j'ai pensé faire des billets
sur les objets de mon quotidien.
Et vous quels sont vos objets les plus usuels
ce qui comblent votre vie sans que vous ne les remarquiez ?
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