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Dimanche 101
Par Cunégonde le dimanche 16 février 2020, 16:31 - Mes ptits bonheurs
Par Cunégonde le dimanche 16 février 2020, 16:31 - Mes ptits bonheurs
Par Cunégonde le jeudi 3 octobre 2013, 07:36 - Mes grandes réflexions
Que puis-je adonir aujourd’hui ?
Pour que mon monde soit moins moche.
Ma participation aux Obsolètes à prise rapide
Par Cunégonde le jeudi 19 septembre 2013, 07:32 - Mes grandes observations
Aujourd’hui, je ne serai pas
dans le monde interlope
dans lequel je travaille.
Ma participation aux Obsolètes à prise rapide
Par Cunégonde le jeudi 12 septembre 2013, 07:14 - Mes grands chocs
Paris est une ville
de mangeurs de maïs.
Sur la place de Porte de La Chapelle,
par moment, il n’y a
pas moins de quatre vendeurs.
Par Cunégonde le vendredi 23 août 2013, 07:32 - Mes grandes observations
Par Cunégonde le mardi 16 juillet 2013, 07:58 - Mes grands chocs
Elle a la cinquantaine,
elle est sale, fatiguée,
elle porte une robe à fleurs.
Elle est usée par la vie.
Elle tremble de tout son corps.
Par Cunégonde le mercredi 19 décembre 2012, 07:38 - Dégoutée de la vie
Il est tout beau, tout neuf.
Il a été inauguré samedi.
Il marche très bien, dans un sens,
celui pour aller travailler.
Dans le sens pour rentrer chez moi,
il est plus lent, voire inexistant.
Je dois marcher pour aller prendre mon bus.
Par Cunégonde le jeudi 15 novembre 2012, 08:41 - Flash
Des phares au loin,
le bus n'avance pas.
On passe à côté de l'accident.
Les pompiers et le SMUR interviennent.
Le visage de cette femme africaine hagard.,
le bus me transporte ailleurs
chez moi.
Par Cunégonde le samedi 13 octobre 2012, 08:53 - Mes grandes réflexions
J'attends le bus 20 minutes.
Je monte, nous sommes serrés.
La première phrase que
je lis par dessus l'épaule de
la personne devant moi est :
« Pourquoi ne sont-ils pas venus ? »
Par Cunégonde le vendredi 12 octobre 2012, 08:48 - Mes grands chocs
Il n'y a pas de chat,
mais une odeur de
pipi de chat.
note écrite dans le bus hier soir
Par Cunégonde le jeudi 2 août 2012, 08:53 - Mes grands chocs
Plusieurs camionnettes blanches sont garées,
pour plus ou moins longtemps,
le long d'un trottoir, pas loin de mon lieu de travail.
Des hommes y entrent, puis en sortent.
Pas loin de ce lieu, un cirque est installé.
Hier, je passais sur ce fameux trottoir.
J'ai bien vu homme entré.
Et, j'ai entendu un son que je n'avais jamais entendu.
Je savais qu'il (le son) ne venait pas de la camionnette.
Tout d'un coup, j'ai aperçu un tigre.
Par Cunégonde le jeudi 23 février 2012, 09:28 - Mes grandes découvertes
Je vous ai déjà parlé de cette navette fluviale,
notamment quand nous sommes allés
faire le pique-nique sur l'île de Charentonneau.
Voguéo est interrompu pour le moment.
Il y a une consultation pour son devenir.
Je sais, c'est que jusqu'au 3 mars,
il faut se bouger un peu si cela vous intéresse.
Avoir un transport en commun sur l'eau
est, à mon sens, un magnifique projet .
Voici le lien pour découvrir les différents projets :
http://www.vogueo.fr/spip.php?rubrique2
Par Cunégonde le mercredi 19 octobre 2011, 10:43 - Mes grandes découvertes
Mon sentiment d'enfermement est du
au fait que ma vision du monde
est floue, brouillée,
seule des taches de couleurs
me proviennent de l'extérieur.
Par Cunégonde le mercredi 28 septembre 2011, 07:51 - Mes grands chocs
Je monte dans le bus, pour rentrer chez moi.
Je m’assois à côté une forme noire avachie sur elle même.
Elle lève la tête. Il s'agit d'une femme
sans âge ni cheveux blancs.
Une odeur d'alcool et de saleté me dérange.
Mais je n'ose aller m'installer plus loin.
Elle semble bien avec des gens à côté d'elle.
Je trouve que ce serait irrespectueux.
À l'arrêt suivant, des jeunes montent,
un se pose sur le siège à sa droite.
J'ai peur que ceux-ci l'importunent.
Non, celui à sa droite demande aux jeunes filles montées avec eux
des mouchoirs en papier.Il les lui donne, elle se mouche.
Elle nous parle, on ne l'entend pas. Je devine qu'elle veut des pièces.
Ma voisine lui tend deux euros
qu'elle a du mal à ranger dans sa poche.
La pièce tombe, elle la récupère non sans mal par terre.
Un son m'interpelle, elle s'adresse à moi, maintenant.
Une vague de tristesse et d'impuissance me submerge,
je suis au bord des larmes.
Je lui donne deux euros et deux tickets de métro
(pour qu'elle puisse au moins faire deux voyages,
sans être importunée par les contrôleurs).
Le bus stoppe, c'est mon arrêt.
Le chemin à pieds jusqu'à chez moi
me permet de calmer mes émotions.
Par Cunégonde le mardi 21 juin 2011, 18:10 - Mes ptits bonheurs
Peut-être que j'aurai dû plus tirer les blancs, non ?
Par Cunégonde le dimanche 19 juin 2011, 18:09 - Mes ptits bonheurs
Une vraie carte postale.
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