Posée sur mon bureau,
simplement parce que j’avais dit
que j’avais perdu la mienne,
la veille.
Écharpe grise
Par Cunégonde le vendredi 15 janvier 2016, 21:28 - 366
Par Cunégonde le vendredi 15 janvier 2016, 21:28 - 366
Posée sur mon bureau,
simplement parce que j’avais dit
que j’avais perdu la mienne,
la veille.
Par Cunégonde le dimanche 10 janvier 2016, 21:32 - Mes ptits bonheurs
Par Cunégonde le mercredi 11 juin 2014, 09:01 - Mes ptits bonheurs
J’ai beaucoup apprécié cette expo,
elle est très bien construite,
la qualité des photos est excellente.
Très bonne salade au petit restau, ensuite
Je ne regrette pas les tiraillements de mon orteil.
Par Cunégonde le lundi 14 avril 2014, 07:19 - Mes grandes réflexions
Je lisais qu’il fallait entretenir
le lien d’une relation pour
qu’elle puisse vivre.
La métaphore est celle du jardinage.
C’est sans compter le travail de la vie.
C’est sans compter l’éloignement.
C’est sans compter la différence des centres d’intérêt…
Pourtant, il arrive que le terreau soit tellement riche
que la relation va de soi.
Pourtant, il arrive qu’une excuse soit nécessaire
pour une rencontre.
Pourtant, il arrive que le lien se détende et se retende
sans que l’on sache pourquoi.
Par Cunégonde le samedi 1 décembre 2012, 08:59 - Mes grandes interrogations
« Un(e) ami(e), qu'est-ce que c'est? »
Pour ma part, un(e) ami(e) est
une personne que j'aime.
Par Cunégonde le vendredi 30 novembre 2012, 08:37 - Mes grandes réflexions
La façon dont nous nommons nos amis
n'est pas si simple qu'il y parait.
Quand je parle d'un de mes amis
à quelqu'un, je l'appelle par son prénom,
comme si la personne avec qui je parle
le connait obligatoirement.
Une personne que je connais ne nomme
jamais ses amis, c'est assez déroutant.
Br. (c'est un homme) ne nomme que
ses amis, ses amies, il les décrit par
leur occupation ou leur métier.
Bernitte fait comme moi,
nomme ses amis par leurs prénoms.
Et vous ?
Par Cunégonde le lundi 7 mai 2012, 00:47 - Mes ptits bonheurs
Des amis, des falafels,
encore Bye-Bye Blondie,
un verre à une terrasse.
Un saut à la Bastille
(je sais les images ne sont pas bonnes du tout)
Pour Tonton, il me manquait
une année pour voter.
Ce soir, dans les rues de Paris
entendre les jeunes chanter,
voir les gens heureux,
j'étais émue de ressentir
ce sentiment de liberté.
Par Cunégonde le dimanche 29 janvier 2012, 10:34 - Mes grandes réflexions
B. : « Tu savais que Tristan Tzara était écrivain ? »
Moi : « oui, je suis souvent dans sa rue, c'est marqué sur la plaque. »
Par Cunégonde le dimanche 22 janvier 2012, 22:19 - Mes ptits bonheurs
Il s'agit d'un pavillon de chasse
qui fut transformé en hôtel particulier.
Maintenant, il possède la plus grande
collection des œuvres de Monet, au monde.
Mais je ne suis pas allée là-bas,
avec Gertrude pour voir les tableaux de ce peintre-ci.
Nous y sommes allées pour voir l'expo sur H.E Cross.
Je ne connaissais pas ce peintre,
bien que certaines de ses toiles soient exposées à Orsay.
J'ai apprécié l'exposition,
le bâtiment par lui.
Je trouve dommage que Cross ne soit pas plus connu.
un exemple que j'ai trouvé
Par Cunégonde le mercredi 4 janvier 2012, 22:11 - Mes grands chocs
Hier, une amie qui est sous oxygène
24 heures sous 24,
m'expliquait qu'elle en avait marre
de tout, de vivre.
Mon impuissance me fait peur.
Je sais que je n'ai qu'à accepter.
Par Cunégonde le mercredi 2 novembre 2011, 11:33 - Mes grandes interrogations
Il y a des années où
j'ai un anniversaire
pour tout le mode,
j'entends par là,
tous ceux qui ont l'habitude
de me le souhaiter.
Il y a des années où
ce n'est pas la cas.
Je ne connais pas la cause
de cette instabilité.
La mémoire, peut-être ?
Par Cunégonde le mardi 30 août 2011, 21:32 - Mes grandes réflexions
Durant une émission radio,
l'artiste (dont je ne me souviens plus le nom)
expliquait son besoin de
laisser une œuvre à la postérité.
Ma réaction immédiate fut de penser,
mais pour quoi faire ?
C'est vrai, je comprends mal
ce besoin si fort chez certains.
À quoi peut nous servir, de notre vivant,
de laisser une trace à la postérité,
à des personnes que nous ne connaîtrons pas,
si ce n'est combler notre égo ?
Je crois fortement qu'une fois mort
nous ne continuons d'exister que
dans le cœur de ceux qui nous aiment.
Ne peuvent être retenus, par nos proches,
que l'amour, l'amitié
que nous leur portons,
ou des émotions contraires,
les actes qui les ont marqués.
Ce qui fait qu'ils continueront à
penser à nous pendant longtemps.
Même pour un artiste,
seul son personnage public
demeure après sa mort.
Sa vie privée n'est que peu accessible.
Marquer la postérité nourrirait-il ce rêve d'immortalité ?
Par Cunégonde le lundi 22 août 2011, 09:08 - Mes ptits bonheurs
C'était au musée Bourdelle.
C'est beau.
Par Cunégonde le mardi 12 juillet 2011, 21:52 - Mes grandes réflexions
Ce sujet m'a été soufflé
par une émission de radio
écoutée en dilettante.
J'ai commencé à réfléchir sur
non pas les sujets possibles de mon ennui,
mais sur les circonstances
qui sont susceptibles de générer mon ennui.
La principale circonstance est quand
je me retrouve cernée d'inconnus,
dans un groupe.
Je suis peu sociable, semble-t-il.
Si je n'arrive pas à découvrir un sujet de discussion,
un intérêt quelconque qui permettra un échange,
l'ennui, lui arrive à grands pas.
Une fois passée ma phase d'observation,
il s'installe.
Par Cunégonde le lundi 6 juin 2011, 21:57 - Mes grandes réflexions
Mon dentiste m'explique
les bienfaits des implants,
en concluant qu'aujourd'hui,
on avait quarante-cinq ans de recul.
Je calcule que dans mon cas,
cela m'amènera jusqu'à
quatre-vingt-onze ans et demi.
Donc il me manquera huit ans et demi
pour atteindre âge fatidique de cent ans.
J'explique ma position à une copine.
Cette dernière me fait remarquer
qu'à cet âge avancé,
je n'aurai plus de dents !
Il me restera mon implant !
Par Cunégonde le jeudi 12 mai 2011, 19:17 - Brèves
« On avait un but précis,
on s'est perdues.
Si on avait pas de but,
on se perdrait pas ! »
Par Cunégonde le mercredi 27 avril 2011, 22:59 - Mes grands chocs
C'est ma voisine depuis environ quinze ans.
Aujourd'hui, c'est son anniversaire.
Elle a quatre-vingt-neuf ans.
Elle monte, et descend plus souvent
que moi nos trois étages.
Il y a un peu d'un mois,
elle a été malade. Elle a cru mourir.
Alors elle a écouté son fils.
Dans un an, elle déménagera.
Elle ira habiter dans une résidence pour sénior,
à côté d'où vit son fils.
Je n'ai pas aimé cela,
même si je sais que pour elle, c'est mieux.
« billets précédents - page 7 de 8 - billets suivants »