Pénible
Par Cunégonde le mardi 21 février 2017, 07:17 - Mes grandes interrogations - Lien permanent
J’éprouve une certaine pénibilité
à écrire qui se transforme en :
pourquoi, pourqui et aquoibon.
Mes ptites banalités intessent-elles
encore ?
J’en ai oublié
d’écrire sur ma migraine d’épaule;
sur mes futurs voyages à
Cologne et à Stochkölm.
Commentaires
Je connaissais le rhume de hanche, mais pas la migraine d’épaule!
Je t’envie d’aller à Stockholm!
Moi, tes petites banalités m’intéressent toujours!
Quant à la destination du blog, j’ai renoncé à m’interroger là-dessus au vu de la fréquentation du mien…
Celui qui lance une bouteille à la mer sait pertinemment que le message qu’elle contient ne sera vraisemblablement jamais lu et, qu’en tout cas, il n’aura jamais de réponse!
Pareil…
Tes petites banalités m’intéressent même si je n’ai pas forcément de commentaire en tête. Mes lecteurs et lectrices procèdent de la même manière chez moi.
Ce silence est souvent démotivant mais tenir un blog n’est ni obligatoire ni ne doit devenir une corvée. Le plus dur est probablement de le faire vivre quand on n’a rien de sensationnel, amusant, digne d’être partagé.
Surtout quand le moral est en berne. Ce qui est mon cas actuellement.
Si on passe, c’est qu’on s’intéresse ;-)
La migraine de l’épaule est une tendinite calcifiante avec une bursite. Ces deux joyeusetés me réveillent tous les jours entre 4 et 5 heures du mat.
Vous êtes des amours.
Pourquoi tu peines à écrire ? sans nul doute , un petit coup de mou passager
Pour qui ? Pour nous ! car on apprécie !
A quoi bon ? pour des tas de raisons je t’assure