Notre bulle de protection (suite)
Par Cunégonde le jeudi 31 mai 2012, 08:15 - Mes grandes réflexions - Lien permanent
La bulle aurait une épaisseur différente
selon les parties de notre corps,
comme l'étaye Ed
dans un commentaire sur la note précédente.
Commentaires
Personnellement, je vois cette bulle comme une tenue de cosmonaute, plus ample au niveau de la tête, près du corps pour le reste. Ce qui expliquerait qu'être dans une foule n'est pas totalement rédhibitoire (même si je n'aime pas la cohue).
Je suis assez d'accord, et ça doit avoir un rapport avec la quantité de vêtements, de couches protectrices. Par exemple, en été, j'aime encore moins le contact physique avec la foule. Ma bulle de protection doit donc aussi être une question épidermique, sans parler de l'odorat...
la bulle n'est pas dans la tête ?
Oui, j'image ma bulle comme celle de Mirovinben. C&C, les odeurs sont pour moi soit attirantes (nous pourrons un jour discuter du degré d'attirance), soit un bon répulsif (pas besoin de discuter du degré de répulsion). Bref, une odeur ne me laisse jamais indifférente.
Christophe, tout est dans la tête.
J'ai un métier où je dois de plus en plus protéger ma "bulle", au rique de passer pour une vieille râleuse, mais circuler dans les couloirs d'un lycée prévu pour 800 mais contenant aujourd'hui quasiment 1200 élèves me provoque des arrivées en cours de plus en plus pénibles, et il est vrai encore plus l'été que l'hiver !
Mais ce sont rarement eux qui me parlent si près que je sens leur souffle, plutôt certains collègues masculins.
J'ai un métier où il m'arrive d'être obligée de me mettre physiquement à distance de mes congénères.
Tout est dans le rapport tête/sens, d'où les variantes de la bulle, à mon avis (je dis ça à cause du com de christophe).
Je plussoie.