La sensualité du papier
Par Cunégonde le lundi 27 février 2012, 08:23 - Mes ptits bonheurs - Lien permanent
J’avais expliqué comment j'écrivais mes notes pour mon blog.
Ma méthode a changé, depuis que je me suis achetée un galaxy note.
Je m'en sers comme une tablette (je téléphone peu avec, j'envoie des sms ou des mails).
J'écris des bribes notes, je prends des notes, je rédige des notes entières dessus.
Comme je me méfie toujours de ma façon de formuler mes propos,
je sais aussi que je fais beaucoup de fautes.
Avant de publier, je passe quand même tous mes textes à la moulinette d'un correcteur,
Antidote pour ne pas le nommer. Pourtant, aucun logiciel de correction ne réagit quand
j’oublie un mot ou lorsque j'en mets un à la place d'un autre.
Malgré la rapidité de mes nouveaux supports,
il me manque la sensualité du papier et du crayon à papier.
J'aime aussi le bruit que la mine fait en touchante la surface du papier.
Je me sers quand même de ces derniers dans mon cadre professionnel.
Je fais dépasser, mais cela n'a aucune importance.
Commentaires
Je voue une réelle passion à tout ce qui concerne l'écriture: papier, crayons, stylos,etc.
J'ai toujours été extrêmement exigeante quant à la qualité du papier, il fallait qu'il soit doux sous la plume (j'ai toujours préféré le stylo-encre au stylo-bille), que la plume soit la plus fine possible, le crayon dur et bien taillé...Cette manie s'étendait d'ailleurs à toutes mes "fournitures de bureau" pour lesquelles, lorsque j'étais en activité, j'étais capable de dépenser des fortunes.
Je m'aperçois aujourd'hui que j'écris de moins en moins, malgré ma vigilance, le clavier a inexorablement pris la place du stylo et je regrette cette irremplaçable rencontre entre la main qui guide le stylo et la feuille de papier qui reçoit les mots.
Les correcteurs et les traducteurs automatiques, vaut mieux en savoir plus qu'eux... Heureusement que c'est comme ça, la traduction automatique ferait encore des chômeurs!
Anthom, il me semble que j'avais lu ça sur ton blog.
C&C, en tous les cas, heureusement que j'ai un correcteur.