Moi aussi...
Par banalitescunegonde.free.fr le vendredi 30 avril 2010, 10:58 - Mes grandes réflexions - Lien permanent
Je m’arrête à la boulangerie,
pour m’acheter du pain.
Le cri de l’éclair au chocolat est
si insistant que je me le procure (l’éclair)
En le dégustant, non sans plaisir,
ma molaire du haut à gauche se révolte,
à tel point que dans l’après-midi,
je cherchais sur Google*,
les urgences dentaires dans ma ville.
Comme réponse, j’obtins :
le centre médico-psychiatrique
pour l’hospitalisation à domicile des adultes.
La gourmande peut amener à tout et partout.
Commentaires
Où je me dis que l’addiction au chocolat peut tout à fait mériter un suivi médico-psychiatrique.
Va falloir l’envisager pour moi, j’en suis à 6 (ou 7 ou 8…) carrés de Nestlé-dessert chaque soir. Soit, selon le conditionnement, une dose allant jusqu’à 45g.
Petit joueur:-))) Dans une autre vie, je m’adonnais à ce plaisir de déguster une plaque de chocolat par jour. C’était avant que la législation ne permette d’y mettre autre chose que du cacao!
Il y a heureusement encore moult chocolatiers français qui n’ajoutent pas ces saloperies !
J’ai assisté à une conférence très sérieuse où on a dit que le chocolat ne pouvait pas être considéré comme une addiction avec dommages.
En fait, je crains moins la prise de poids (quoique) que le risque d’avoir un sommeil plus difficile vu que j’en consomme surtout après le repas du soir… par goût et aussi pour me maintenir éveillé grâce au grignotage savoureux jusqu’à une heure raisonnable.
C’est assez paradoxal.
Mais faut dire que j’ai tendance à tomber de sommeil vers 21h00 et à considérer ma nuit terminée vers 05h00. Cercle vicieux.
Tu dors mieux que moi alors.