Par Cunégonde le vendredi 4 juillet 2014, 07:21
Dans Autoportrait de l’auteur en coureur de fond de Haruki Murakani,
il parle du sens de la vie.
Ce n’est pas parce qu’elle a un terme,
que cela lui confère un sens.
Je pense que je me contente du sens
que je lui donne à des moments donnés.
Je me contente de me construire le mieux que je peux.
Je me contente d’avoir réaliser certaines choses.
Je dois aussi me contenter des points négatifs.
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Par Cunégonde le vendredi 27 juin 2014, 08:29
Si vous cliquez sur la photo, elle se rétrécit.
Haruki Murakami
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Par Cunégonde le lundi 23 juin 2014, 06:28
Devant moi, un homme d’un certain âge
ramasse un bout de pain par terre.
Plus loin, je ramasse une pointe.
Je ne sais pas ce que je vais en faire.
Je ne sais pas non plus,
ce que le monsieur va faire de son bout de pain.
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Par Cunégonde le vendredi 13 juin 2014, 21:35
Je comprends que les manifestations rendent
la gestion des trajets de bus compliquée.
Ce n’est pas ce que je reproche.
Ce qui me déplait dans mes déplacements
est le manque d’informations sur les perturbations des bus.
Même si l’application RATP est de plus
en plus performante, il manque ce genre de détail.
Si tel bus est touché par une manifestation
quel est l’autre moyen est à notre disposition?
L’autre cause d’insatisfaction est
l’emplacement précis des arrêts de bus.
Il faudrait aussi que
les correspondances entre les bus soient visibles.
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Par Cunégonde le jeudi 22 mai 2014, 07:42
À la réplique, « dans 100 ans
vous serez encore collée ici ! »
Ma réponse : « mais dans 100 ans,
je serais morte et j’aurai de la compagnie,
si vous voyez ce que je veux dire »
n’a pas été apprécié à sa juste valeur.
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Par Cunégonde le mardi 20 mai 2014, 07:14
Faut-il être si peu sûr de l’identité de son sexe pour ressentir le besoin de l’affirmer par son vêtement…
Yvane Jacob
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Par Cunégonde le mercredi 16 avril 2014, 06:58
Je me suis achetée
un melon charentais
muri sous le soleil marocain.
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Par Cunégonde le lundi 14 avril 2014, 07:19
Je lisais qu’il fallait entretenir
le lien d’une relation pour
qu’elle puisse vivre.
La métaphore est celle du jardinage.
C’est sans compter le travail de la vie.
C’est sans compter l’éloignement.
C’est sans compter la différence des centres d’intérêt…
Pourtant, il arrive que le terreau soit tellement riche
que la relation va de soi.
Pourtant, il arrive qu’une excuse soit nécessaire
pour une rencontre.
Pourtant, il arrive que le lien se détende et se retende
sans que l’on sache pourquoi.
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Par Cunégonde le mercredi 9 avril 2014, 08:12
Si vous cliquez sur la photo, elle s’agrandit.
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Par Cunégonde le mardi 8 avril 2014, 07:26
Si vous cliquez sur la photo, elle s’agrandit.
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Par Cunégonde le jeudi 6 mars 2014, 07:00
Là où nous naissons nous marque
autant que la famille
dans laquelle nous venons au monde.
Souvent, j’ai remarqué que
le fait d’être rural ou urbain
ne nous forge pas à vie de la même manière.
Dans mon village de moins 500 habitants,
où tout le monde se connait.
Nous sommes élevés
différemment qu’en ville.
Entourés de terres;
de bois; d’étang,
nous n’avons pas, non plus,
les mêmes activités,
que cernés de béton.
Cela a tendance à changer.
Mais l’accès à la culture n’est pas non plus le même .
Pas de musée; pas de théâtre;
pas de cinéma. La lecture est là.
Je me souviens d’un voyage scolaire à Paris.
Les Parisiens font l’inverse,
des classes vertes.
Je pense que ma façon de concevoir
le monde est dû à ma situation de villageoise.
À l’heure actuelle, je dirais que je suis
une néo-urbaine comme certains
sont des néo-ruraux.
Pourtant ma vision des choses dans la capitale
est toujours dictée par l’appréhension du monde
que j’ai acquis dans ma vie au village.
Je le ressens beaucoup plus dans mon nouvel appartement.
Ma vue principale n’est plus des arbres comme avant.
Les éléments naturels sont gommés en ville.
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Par Cunégonde le mercredi 5 mars 2014, 07:45
Je ne sais pourquoi,
mais le fait que mon oncle soit enterré
dans mon village, accroît ce sentiment.
Certainement parce que mon village prouve
qu’il peut engloutir même ceux qui n’y sont pas nés.
Depuis enfant, je sais que je fais partie de lui.
Je sais que même si je n’y vis plus.
Il est toujours présent.
Il détient en ses terres
les êtres qui me sont chers.
Il est au centre de mon monde.
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Par Cunégonde le dimanche 2 mars 2014, 08:04
Quand la gamelle est vide,
ce qui arrive souvent très tôt le matin.
Il faut pouvoir accepter,
de n’être à ce moment là,
qu’un distributeur de croquettes.
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Par Cunégonde le samedi 22 février 2014, 07:59
Oui, il m’arrive d’être
langue de pute.
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Par Cunégonde le mercredi 19 février 2014, 07:18
Je ne me souviens pas avoir ressenti
l’arrêt d’une souffrance.
Petit à petit, je me rendue compte
que je reprenais plaisir à certaines choses.
Jamais je ne me suis dit :
« C´est chouette
C´est comme une rage de dents quand ça s´arrête. »
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Par Cunégonde le dimanche 16 février 2014, 08:55
Je ne suis pas toujours
très bien avec ma carcasse.
Des ptits bouts cassés m’ont rappelé
sa fragilité.
Mes kilos en trop me prouve sa complexité.
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Par Cunégonde le samedi 15 février 2014, 07:41
Ah l’amour l’amour
Fait chier !
De toute façon,
je suis jamais synchro !
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Par Cunégonde le samedi 8 février 2014, 07:26
J’aimerais l’être zen
mais pas comme dans la chanson.
Ma participation aux chansons à prise rapide
Ce mois-ci Anne Sylvestre
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Par Cunégonde le vendredi 7 février 2014, 07:30
« Permettez enfin qu´on vous dise
Que vous êtes beaux. »
Si c’était vrai, pourquoi pas.
Ma participation aux chansons à prise rapide
Ce mois-ci Anne Sylvestre
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Par Cunégonde le jeudi 6 février 2014, 07:33
Je n’ai jamais vécu une relation
où l’entente pouvait être qualifiée de
cul et chemise.
Ma participation aux chansons à prise rapide
Ce mois-ci Anne Sylvestre
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