Mes grandes réflexions

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Savoir

Il n’est pas nécessaire
de savoir pour entreprendre.

Je ne suis pas efficace avec moi-même

Je fais attention au poids
de mes bestioles, et
je n’arrive pas à gérer le mien.

Genre

À une formation pendant laquelle’
nous avons dû nous exprimer par écrit’
sur un tableau blanc visible de toutes,
nous avons toutes conjugué les participes
passés nous décrivant,
au masculin.

Ourlet

La jeune génération n’est pas en
mal d’imagination pour trouver
des solutions pour faire
ses ourlets de jeans..

J’avais déjà vu des agrafes;
de la colle; plus ou moins découpé;
là, des trombones. Cela a l’avantage
d’être amovible.

Peur

“Tellement peur de mourir qu’il en vit plus”

Communication

“Parle aux gens
comme tu veux qu’on te parle.”

Quoi dire

Quand on se fait engueuler
et que l’on a tord.

Manque

De fugaces moments font que
je réalise que S. comme ma mère
me manquent.
L’âge me permet d’accepter ce manque
et non de chercher à le combler.

L'externalisation du pot de départ

Mon pot est principalement constitué
de pizzas et de coca.
Une collègue m’explique que
pour elle c’était trop.
Elle amènerait sa gamelle,
et ramènerait la pizza à la maison,
pour son compagnon et elle.

J'ai dû mal comprendre

La morale du dernier film de Besson.
J’ai retenu que si l’on acquière
100% de la capacité de son cerveau, on finit en clé USB.

Ma crise de la cinquantaine

Changement d’appartement;
changement de travail;
un tatouage;
des cours de natation.

Étonnant

Quand j’ai fait part à des collègues
de mon projet de tatouage,
que je leur ai énoncé ce que je voulais
qu’il contienne. Une de mes collègues a été
étonné que sur mon tatouage
je ne voulais pas que figure
un être humain.

La couleur

Du pantalon de la formatrice
ne me permet pas me cencentrer.
La blanc laisse divaguer.

L'année de tous les changements

Changement d’appart,
changement de boulot,
du moins dans la continuité.
Tatouage dans un avenir proche.
Et maintenant, il me plait à penser que
la piscine… D’ailleurs !

Le 20 septembre

Je vais me faire tatouer.
J’ai manqué dire graver.
C’est un peu ça.
J’aurai marqué à vie, sur mon bras,
je ne sais pas encore lequel,
ce qui pour moi symbolise le plus,
ma vie à la moitié de celle-ci.

Projet encré

Depuis plusieurs années,
l’idée trottine dans ma tête.
Un tatouage, mais quoi et où.
À une époque, je voulais un dessin géométrique
sur le mollet. Un tatoueur n’a rien
trouvé se mieux de me dire que c’était
une zone très sensible.
L’idée s’est évaporée.

Elle a ressurgi en lisant un roman
de Jonh Irving. Sans plus.
Puis sur le site de Barbieturix,
j’ai lu un article sur Roberel,
un autre sut Dwam.
Je me suis dit que pour mes 50 ans,
symboliquement, être marquée à vie,
cela me plait.

Où, sur un de mes bras peut-être.
Quoi, un dessin comprenant des lunettes;
des chaussures de marche;
un appareil photo;
un livre ouvert;
un smartphone;
un chat.

Le temps de notre électroménager

Hier, je suis allée m’acheter
une nouvelle machine à laver.
J’en ai choisi une qui consomme
le moins possible,
et qui soit assez rapide.

Celle qui est entrain de me lacher,
a 18 ans, je sais pertinemment que
la nouvelle ne restera pas aussi longtemps
avec moi.

Le sens de ma vie

Dans Autoportrait de l’auteur en coureur de fond de Haruki Murakani,
il parle du sens de la vie.
Ce n’est pas parce qu’elle a un terme,
que cela lui confère un sens.
Je pense que je me contente du sens
que je lui donne à des moments donnés.
Je me contente de me construire le mieux que je peux.
Je me contente d’avoir réaliser certaines choses.
Je dois aussi me contenter des points négatifs.

Être soi-même

Si vous cliquez sur la photo, elle se rétrécit.

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Haruki Murakami

Ramassage

Devant moi, un homme d’un certain âge
ramasse un bout de pain par terre.
Plus loin, je ramasse une pointe.

Je ne sais pas ce que je vais en faire.
Je ne sais pas non plus,
ce que le monsieur va faire de son bout de pain.

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