Par Cunégonde le mardi 21 février 2017, 07:17
J’éprouve une certaine pénibilité
à écrire qui se transforme en :
pourquoi, pourqui et aquoibon.
Mes ptites banalités intessent-elles
encore ?
J’en ai oublié
d’écrire sur ma migraine d’épaule;
sur mes futurs voyages à
Cologne et à Stochkölm.
Par Cunégonde le mercredi 11 janvier 2017, 07:15
Devra t-on autant
nous laver les mains ?
Par Cunégonde le lundi 19 septembre 2016, 20:55
Comme je n’ai qu’une vingtaine
de kilos trop attachés à moi.
J’ai décidé que quand je mangerai
des bombons, par exemple,
je monterai à pied les 5 étages.
À midi, j’ai gagné,
j’ai pris les escaliers.
Ce soir, j’ai perdu,
j’ai perdu j’ai pris l’ascenseur.
Par Cunégonde le mercredi 31 août 2016, 06:50
Suis-je une gaspilleuse parce que
je prends 2 douches, par jour,
en laissant couler l’eau,
tout le temps ?
L’accusation a été portée sans réplique
possible.
Par Cunégonde le vendredi 25 mars 2016, 21:07
À côté de moi une personne regarde
un film, sur sa tablette,
dans une rame de la ligne 8,
du métro.
Je m’interroge sur le fait que
cela me gêne.
Je vois ce qu’il regarde.
Je suis entrée, dans son monde,
sans y être invitée.
Par Cunégonde le mercredi 2 décembre 2015, 08:59
Je ne sais toujours pas
si j’irai voter, ou pas.
Voter mais pour défendre quoi ?
Stopper le front national ?
C’est ça le but ?
Voter utile ?
C’est ça le but ?
Quelle est la différence entre la droite et
cette gauche qui n’en a que le nom,
mais qui est au pouvoir ?
Voter pour défendre
un programme qui n’existera
que le temps de la campagne ?
Pourquoi aucun politique me donne
envie d’aller voter ?
Par Cunégonde le dimanche 29 novembre 2015, 13:12
Je ne pose cette question
aprés avoir entendu
qu’une mère avait abandonné son bébé.
Dans un tel cas, il n’est jamais
question du père.
Par Cunégonde le mercredi 11 novembre 2015, 12:25
De cœur, plus ou pas encore;
Physique, ni plus , ni moins que les autres jours;
Dans la tête, alors !?
Par Cunégonde le jeudi 15 octobre 2015, 08:27
Petit Neveu est trés coquin.
Et Il a des remarques marrantes.
Je suis allée avec lui,
voir mon figuier,
qui a une gosse branche malade.
Quand je lui ai montré,
il m’a dit qu’il fallait que
j’appelle le vétérinaire.
Je lui ai expliqué qu’
un vétérinaire était un docteur pour
les animaux. “Pour les arbres, c’est quoi
le docteur ?” M’a t-il demandé ?
Il fut trés déconcerté que je ne sache pas.
Par Cunégonde le mardi 13 octobre 2015, 06:28
Je me demande ce
qui est le plus préférable,
une aubade ou une sérénade ?
Par Cunégonde le vendredi 2 octobre 2015, 07:27
Le problème avec la provocation
est que l’on sait que
l’on va avoir une réaction,
mais laquelle ?
Par Cunégonde le jeudi 24 septembre 2015, 07:03
Qui ?
Peut-être un des membres
du jury de l’entretien que
je dois avoir vendredi après-midi.
Par Cunégonde le dimanche 30 août 2015, 18:18
Qu’est-ce que vous faites
des blancs d’œufs,
quand vous vous êtes servis que
des jaunes ?
Par Cunégonde le dimanche 30 août 2015, 08:28
Tu m’étonnes qu’il renonce à
ce dispositif s’il peut avoir plus.
Avec un seul million,
j’arrête de travailler tout de suite.
Je me demande toujours,
ce qui les motive pour vouloir
toujours plus.
Il y a bien un moment où
il faut s’arrêter,
se poser.
Par Cunégonde le mercredi 19 août 2015, 07:56
Je suis allée manger une pizza,
j’ai pris un coca zéro avec.
J’ai payé 16€50
J’étais surprise car la pizza valait 12€.
J’ai regardé le ticket : 4€50 le coca.
Je n’en revenais pas.
Une boisson peut coûter plus
d’un tiers que mon repas.
Elle ne me nourrit pas, pourtant !
Je paie une canette de coca
comme celle qui m’est servi 0€46.
La pizzeria doit payer son loyer,
ses charges, les salaires…
La boisson ne représente pas
un travail particulier, c’est du stock, du service.
Pour la pizza, il n’en est pas de même.
Il faut les matières premières,
les travailler, les cuisiner
les servir.
Bref, je trouve que réaliser sa marge
sur un produit sans valorisation
n’est pas moral.
J’accepterai de payer
quelques euros de plus la pizza,
pour que la marge puisse être réalisée
sur des produits qui valorisent le travail.
Mais qui me suivra, dans une société,
où le travail n’est plus
une valeur respectable ?
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